Luc... après12 mois de silence
Vous trouverez en dessous une petite histoire avec un livreur de colis - Luc - que je n'avais pas revu depuis notre courte rencontre.
Il m'avait bien plu tant au physique que de caractère - au point que j'avais dit à Hervé (mon compagnon) que j'aimerais bien le rencontrer à nouveau... Au point qu'à chaque livraison à la maison j'espérais que ce serait lui qui sonnerait à la porte. Jamais.
C'est pourtant arrivé et en ouvrant - con comme je suis - je lui ai demandé où était sa camionnette. Heureusement pour moi, ça la fait faire rire et il m'a dit un truc du genre "Je me livre tout seul !". En entendant ça j'ai ri avec lui.
Deux mots pour dire qu'il avait une casquette de baseball (NY), un tee-shirt avec une plage avec des palmiers et un bermuda en jean bleu clair. Basquets aux pieds. Pourquoi ces détails ? Ca allait bien avec son sourire et... ses poils - je suis fanatique des poils !! ;-)
Vu l'heure il voulait un verre de rosé. Ok. Mais il est venu à mes côtés pour repousser 1 verre sur les 2 : "On va boire ensemble" et à levé un peu plus la bouteille pour mieux remplir le verre.
Sur le canapé (il ne voulait pas aller dehors) il m'a présenté le verre : "J'aime ta bouche laisse moi boire sur tes lèvres et tu boiras sur ma langue".....
J'ai demandé pourquoi il revenait des mois après notre rencontre. Comme un gamin, Luc après avoir mis sur a tête sa casquette a expliqué qu'il ne savait pas trop ce qu'il avait fait avec moi. Qu'il s'est rendu compte qu'il voulait me revoir et il est revenu. J'ai posé la main sur un de ses genoux et il a eu un petit gémissement avant de venir respirer sur la peau de mon cou. On s'est regardé sans trop savoir quoi faire - je sais ce que je voulais lui dire en oubliant tout le reste et surtout mon compagnon auquel je ne pensais plus du tout.
Il s'est levé pour remplir notre verre et je l'ai regardé faire. Il avait enlevé ses pompes et je le voyais comme si il avait toujours été là. J'ai fait pareil. En fait on n'avait rien besoin de se dire. J'ai enlevé sa casquette de ma tête. On a mêlé nos bouches, langues et salives. On s'est déshabillés mutuellement pour sentir nos corps poilus crissés un peu l'un contre l'autre. Nos queux frottées on a jouit en criant un peu. Mon visage a quitté le sien, lui le mien et en 69 on a léché nos spermes mêlés. On s'est donné nos bouches pleines de jus. On a avalé avant de reprendre et partager le verre qu'il avait servi.
Comme moi humide de sueur Luc a pris ma main et m'a dit qu'il ne voulait pas partir : il n'était pas là grâce à un site homo. Je n'ai rien répondu, on se regardait yeux dans les yeux. Je lui ai caressé la joue en l'y laissant, lui aussi et c'est lui qui a dit (en baissant 1 peu les yeux) : "Je t'aime". Réponse à voix basse : "Regarde moi, je t'aime".
On est resté l'un contre l'autre un moment. Il a senti que je bandais à nouveau. Avec un peu de réserve, il m'a voulu en lui. Il s'est assis sur ma queue en y restant sans bouger en me souriant. Je suis sorti de lui pour m'offrir à lui en lui disant que je voulais qu'il m'aime comme il voulait. Il a été doux, prévenant et comment ne pas adorer sa respiration un peu haletante sur mon cou. Et il a fait comme moi : sorti il m'a guidé en lui.
Ca peut sembler bizarre mais en ouvrant le tiroir de la table du salon, j'ai sorti un flacon de poppers. Calme dans son derrière j'ai montré et lui ai demandé si ça le gênait - il connaissait sans savoir ce que c'était. Sorti de son derrière, on s'est assis en tailleur l'un et l'autre les jambes entremêlées. J'en ai pris et je l'ai fait sniffer : effet immédiat. Emmêlés l'un à l'autre, bruyants sexes l'un contre l'autre, lui dans moi, moi dans lui, baisers de salives et de spermes. On s'est couché avec des "Je t'aime" à l'oreille. Il a sourit comme jamais on ne m'avait souri. Assis sur la tabl de la cuisine il m'a entouré de ses jambes pour qu'on s'embrasse encore plus profondément. C'était bon de caresser ses cuisses poilues avec ses mains sur mes fesses...
Même en bandant tous les deux on a mangé tranquillement avant d'aller prendre un bain pour nous savonner mutuellement.
Le lendemain (après une nuit d'affection mutuelle) il m'a demandé si je voulais aller chez lui. Il a vite compris mon étonnement alors : "je crois que chez toi c'est chez nous, chez moi c'est chez nous". Une fois arrivés il m'a montré son appart' et une carte postale où il avait écrit "je l'aime" - la carte était de mon patelin. Je l'ai pris en prenant le temps de le pénétrer, de ressortir, de revenir, de le laisser chercher ma main pour trouver les doigts qu'il voulait lécher. J'ai jouis en lui et il m'a pris, moi sur le dos, mes jambes sur ses épaules. Je le sentais aller et venir et je serais mon trou autour de lui. Bonheur de le voir prendre du plaisir en me regardant avant de nous faire jouir. Lui au sperme dans mon cul, moi en le voyant jouir....
Hervé est parti.
Depuis Luc et moi nous vivons ensemble chez moi (il a quitté son appart').
Il m'avait bien plu tant au physique que de caractère - au point que j'avais dit à Hervé (mon compagnon) que j'aimerais bien le rencontrer à nouveau... Au point qu'à chaque livraison à la maison j'espérais que ce serait lui qui sonnerait à la porte. Jamais.
C'est pourtant arrivé et en ouvrant - con comme je suis - je lui ai demandé où était sa camionnette. Heureusement pour moi, ça la fait faire rire et il m'a dit un truc du genre "Je me livre tout seul !". En entendant ça j'ai ri avec lui.
Deux mots pour dire qu'il avait une casquette de baseball (NY), un tee-shirt avec une plage avec des palmiers et un bermuda en jean bleu clair. Basquets aux pieds. Pourquoi ces détails ? Ca allait bien avec son sourire et... ses poils - je suis fanatique des poils !! ;-)
Vu l'heure il voulait un verre de rosé. Ok. Mais il est venu à mes côtés pour repousser 1 verre sur les 2 : "On va boire ensemble" et à levé un peu plus la bouteille pour mieux remplir le verre.
Sur le canapé (il ne voulait pas aller dehors) il m'a présenté le verre : "J'aime ta bouche laisse moi boire sur tes lèvres et tu boiras sur ma langue".....
J'ai demandé pourquoi il revenait des mois après notre rencontre. Comme un gamin, Luc après avoir mis sur a tête sa casquette a expliqué qu'il ne savait pas trop ce qu'il avait fait avec moi. Qu'il s'est rendu compte qu'il voulait me revoir et il est revenu. J'ai posé la main sur un de ses genoux et il a eu un petit gémissement avant de venir respirer sur la peau de mon cou. On s'est regardé sans trop savoir quoi faire - je sais ce que je voulais lui dire en oubliant tout le reste et surtout mon compagnon auquel je ne pensais plus du tout.
Il s'est levé pour remplir notre verre et je l'ai regardé faire. Il avait enlevé ses pompes et je le voyais comme si il avait toujours été là. J'ai fait pareil. En fait on n'avait rien besoin de se dire. J'ai enlevé sa casquette de ma tête. On a mêlé nos bouches, langues et salives. On s'est déshabillés mutuellement pour sentir nos corps poilus crissés un peu l'un contre l'autre. Nos queux frottées on a jouit en criant un peu. Mon visage a quitté le sien, lui le mien et en 69 on a léché nos spermes mêlés. On s'est donné nos bouches pleines de jus. On a avalé avant de reprendre et partager le verre qu'il avait servi.
Comme moi humide de sueur Luc a pris ma main et m'a dit qu'il ne voulait pas partir : il n'était pas là grâce à un site homo. Je n'ai rien répondu, on se regardait yeux dans les yeux. Je lui ai caressé la joue en l'y laissant, lui aussi et c'est lui qui a dit (en baissant 1 peu les yeux) : "Je t'aime". Réponse à voix basse : "Regarde moi, je t'aime".
On est resté l'un contre l'autre un moment. Il a senti que je bandais à nouveau. Avec un peu de réserve, il m'a voulu en lui. Il s'est assis sur ma queue en y restant sans bouger en me souriant. Je suis sorti de lui pour m'offrir à lui en lui disant que je voulais qu'il m'aime comme il voulait. Il a été doux, prévenant et comment ne pas adorer sa respiration un peu haletante sur mon cou. Et il a fait comme moi : sorti il m'a guidé en lui.
Ca peut sembler bizarre mais en ouvrant le tiroir de la table du salon, j'ai sorti un flacon de poppers. Calme dans son derrière j'ai montré et lui ai demandé si ça le gênait - il connaissait sans savoir ce que c'était. Sorti de son derrière, on s'est assis en tailleur l'un et l'autre les jambes entremêlées. J'en ai pris et je l'ai fait sniffer : effet immédiat. Emmêlés l'un à l'autre, bruyants sexes l'un contre l'autre, lui dans moi, moi dans lui, baisers de salives et de spermes. On s'est couché avec des "Je t'aime" à l'oreille. Il a sourit comme jamais on ne m'avait souri. Assis sur la tabl de la cuisine il m'a entouré de ses jambes pour qu'on s'embrasse encore plus profondément. C'était bon de caresser ses cuisses poilues avec ses mains sur mes fesses...
Même en bandant tous les deux on a mangé tranquillement avant d'aller prendre un bain pour nous savonner mutuellement.
Le lendemain (après une nuit d'affection mutuelle) il m'a demandé si je voulais aller chez lui. Il a vite compris mon étonnement alors : "je crois que chez toi c'est chez nous, chez moi c'est chez nous". Une fois arrivés il m'a montré son appart' et une carte postale où il avait écrit "je l'aime" - la carte était de mon patelin. Je l'ai pris en prenant le temps de le pénétrer, de ressortir, de revenir, de le laisser chercher ma main pour trouver les doigts qu'il voulait lécher. J'ai jouis en lui et il m'a pris, moi sur le dos, mes jambes sur ses épaules. Je le sentais aller et venir et je serais mon trou autour de lui. Bonheur de le voir prendre du plaisir en me regardant avant de nous faire jouir. Lui au sperme dans mon cul, moi en le voyant jouir....
Hervé est parti.
Depuis Luc et moi nous vivons ensemble chez moi (il a quitté son appart').
2 months ago